THETFORD MINES, le 15 septembre 2017 – En partenariat avec le propriétaire de la mine Granilake, Viridis, chef de file québécois en gestion de matière résiduelle et organique, annonce la végétalisation de plusieurs dizaines d’hectares de l’ancien site minier de Black Lake de Thetford Mines.

« Grâce à ses solutions novatrices et sa grande expertise dans le domaine, Viridis a développé plusieurs recettes de substrats organiques adaptées à la végétalisation de haldes à stérile minier », indique Simon Naylor, vice-président et fondateur de Viridis.

Collaborant avec Granilake depuis 2011, Viridis a engendré des retombées locales de près de 1 M$ au cours des trois dernières années afin de parvenir à cet incroyable résultat.

Rappelons qu’en plus d’éviter l’enfouissement de matières organiques, un geste écologique économique, durable et socialement responsable, la végétalisation à l’aide de matières résiduelles a un impact positif sur la réhabilitation des sites de l’ancienne mine. « Nous provoquons l’implantation d’une couverture végétale permanente à l’aide d’herbacés et d’arbres adaptés au milieu environnant. À terme, les collines de résidus miniers qui ternissent le paysage désertique de l’ancienne mine depuis des dizaines d’années seront toutes végétalisées, offrant à la région un paysage tout neuf », ajoute Monsieur Naylor, fier des efforts soutenus de Viridis de reverdir la région de Thetford Mines.

Viridis et le propriétaire de la mine soutiennent la recherche : après la prairie, la forêt

Pas surprenant qu’il y a quelques semaines, le professeur Nicolas Bélanger, du Département Sciences et Technologie de l’Université TÉLUQ et chercheur au centre d’étude de la forêt se soit vu octroyer une subvention de 25 000 $ du Conseil de recherches en sciences et en génie du Canada (CRSNG) dans le cadre du Programme de subventions d’engagement partenarial pour les universités pour sa recherche sur la valorisation de l’ancienne mine de chrysotile de Black Lake.

Son projet intitulé « Afforestation sur des sols reconstruits à partir de boues de désencrage et municipales : le cas des haldes à résidus miniers de chrysotile » sera d’ailleurs réalisé en partenariat avec Viridis et les responsables de la mine et aura une portée précise : la mise en place d’un dispositif expérimental robuste d’afforestation (une plantation d’arbres ayant pour but d’établir un état boisé sur une surface longtemps restée dépourvue d’arbres), la description de microsites de croissance, la collecte de données de survie, de croissance et de nutrition foliaire des arbres sur une année et l’analyse des résultats.

« Nous sommes honorés de ce partenariat pour réaliser cette recherche et aussi fiers de l’appuyer dans son projet. Cela démontre hors de tout doute que Viridis est non seulement un leader dans son domaine, qu’elle sait s’impliquer et que le propriétaire de la mine désire le plus de verdure possible sur son site », conclut Monsieur Naylor.

Photo: Extrait TVA

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